Le pays où Rick Steves choisirait de vivre

Le pays où Rick Steves choisirait de vivre

Quel pays choisirait Rick Steves pour y vivre et poursuivre son voyage? Analyse des critères, du climat et des cultures qui pourraient guider son choix.

Le pays où Rick Steves vivrait

Rick Steves est un voyageur passionné et un présentateur qui a arpenté l’Europe pendant des décennies. Bien qu’il s’investisse pleinement dans l’Europe, il réside aujourd’hui dans l’État de Washington. Toutefois, s’il ne vivait pas aux États-Unis, il affirmerait préférer vivre en Norvège, pays qu’il considère comme particulièrement inspirant pour ses valeurs sociales et son héritage personnel.

« J’aime vraiment leurs sensibilités sociales, et j’ai des origines norvégiennes, ce qui me fait me sentir chez moi là-bas », confie-t-il. « Mais je sais aussi que je manquerais l’atmosphère d’entrepreneuriat libre qui caractérise l’Amérique. » Cette nuance résume son regard sur l’équilibre entre confort culturel et énergie économique.

À l’adolescence, à 14 ans, il effectua son premier voyage en Europe et visita la Norvège, région où trois de ses grands‑parents ont grandi. Cette immersion a profondément façonné sa perception du monde et, peut‑être, a influencé sa carrière. Dans ses discours et ses apparitions, Steves a souvent souligné l’attitude courtoise et intellectuelle des Norvégiens et a même mis la Norvège en évidence dans ses guides et programmes.

Le meilleur moment pour découvrir la Norvège, selon lui, est la fin du printemps, quand les sites culturels et naturels sont en pleine effervescence mais que les foules touristiques restent relativement modestes. En matière de destination, Oslo, capitale du pays, est recommandée pour commencer, avec ses musées, ses parcs et sa qualité de vie urbaine.

  • Oslo et ses incontournables: musées comme MUNCH, le Fram Museum et Vigeland Park, sans oublier Frognerparken, tous riches d’histoire et d’art.
  • Pour s’immerger dans le quotidien oslois: Vår Frelsers Cemetery et le quartier dynamique de Grünerløkka offrent un regard authentique sur la vie locale, tout en restant confortables pour les anglophones.
  • Langue et accueil: l’anglais est couramment parlé en Norvège, ce qui facilite les échanges même hors des circuits touristiques.

Plus loin dans son récit, Steves évoque Oslo comme porte d’entrée vers une Norvège au cadre naturel spectaculaire, notamment ses fjords. Pour s’informer sur les sites et les itinéraires, on peut consulter les ressources officielles des musées et des parcs cités ci‑dessous.

Pour ceux qui souhaitent aller encore plus loin dans l’expérience norvégienne, l’itinéraire mondialement connu “Norway in a Nutshell” met en lumière les fjords majestueux et peut être adapté selon les envies. Le trajet commence par un train spectaculaire d’Oslo à Bergen vers 6 h 30 du matin, puis alterne entre trains, bateaux et routes côtières pour une journée d’émerveillement.

Ce circuit peut être suivi sur toute sa longueur jusqu’à Bergen ou être découpé avec des arrêts, par exemple à Flåm, petit village au bord du spectaculaire Aurlandsfjord. Steves a toutefois reconnu que la Norvège demeure l’un des pays les plus heureux du monde et qu’elle peut être coûteuse. Pour maîtriser le budget, il suggère des auberges de jeunesse et des repas de rue simples qui permettent de profiter pleinement du voyage sans se ruiner.

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